soucis l approche de ma pouliche

Très belle histoire mais maintenant que tu as du temps libre corrige toutes les fautes d'orthographe. Ton texte en est rempli . Je me suis découragé de toutes les compter......Putain où va notre français?

Comme quoi il ne faut pas isoler la mère et le poulain du reste du troupeau!

Tout à fait d'accord, mais si j'ai bien compris, le cas est plus complexe qu'une jument et son poulain isolés (8 chevaux : lui+7 juments) : la mère était tellement dominante et protectrice à la fois que les autres juments du troupeau acceptaient tout du poulain, qui était in fine tout puissant au sein du troupeau.

G&G arabians a écrit:

Très belle histoire mais maintenant que tu as du temps libre corrige toutes les fautes d'orthographe. Ton texte en est rempli . Je me suis découragé de toutes les compter......Putain où va notre français?

Je suis désolé G&G mais je suis nulle en orthographe et rien ni fait malheureusement j'ai même pris des cours de français particulier et vu un orthophoniste qui m'a expliqué que j'avais une sorte de dislecsie qui ne pourra jamais être soignée. J'ai beau me relire je ne les vois pas toutes.

Vraiment désolé!!!

Je peut arrêté d'écrire sur ce forum si cela dérange trop

la rose a écrit:

Tout à fait d'accord, mais si j'ai bien compris, le cas est plus complexe qu'une jument et son poulain isolés (8 chevaux : lui+7 juments) : la mère était tellement dominante et protectrice à la fois que les autres juments du troupeau acceptaient tout du poulain, qui était in fine tout puissant au sein du troupeau.

Oui c'est exactement ça.
Il est donc très important que le poulain soit relis à sa place de poulain et plus tard à sa place de cheval.

chacha a écrit:

Un cheval nous voit 3 fois plus grand que nous sommes

Ça me laisse toujours un peu perplexe quand je lis cela : qu’il ne voie pas comme un humain, tout à fait d’accord. Mais c’est vrai pour TOUT, pas seulement pour nous. Il voit de la même façon sa mère, sa chère mamelle, l’humain qui vient s’occuper de lui, le seau avec lequel il joue, les arbres de son pré, les piquets de clôture, la fleur de pissenlit, la grenouille qui saute… Que notre station debout l’impressionne, qu’il connaisse d’instinct notre statut de prédateur et qu’il se sente une pauvre petite proie, OK. Mais cette histoire de vision multipliée par trois, je ne pige pas trop…

C'est exactement ce que je voulais dire.
Ils voient tous plus grand que ce que nous nous voyons.
Environ 3 fois plus le chiffre exacte c'est 2.7 je crois ( information de mon véto..)
Je voulais donc dire par là que le cheval nous craint car pour lui il est plus petit que nous alors que c'est l'inverse.

Heureusement d'ailleurs déjà qu'il sont bien conscient de leurs force, si en plus il savait qu'on est ridicule à côté d'eux!!!!

Je pense qu'il serait bien mort de rire lol

Vraiment, je ne suis pas.

OK pour : les chevaux voient autrement que nous.
OK pour : leur système visuel « fait loupe » (en gros).
Mais pas du tout pour :

chacha a écrit:

le cheval nous craint car pour lui il est plus petit que nous alors que c'est l'inverse.

Déjà, il faudrait savoir exactement quelle conscience de soi a le cheval. Et ça, ce n’est pas gagné. (Vous imaginez la taille du divan chez le psychanalyste !…) Mais surtout j’aimerais bien savoir pourquoi il ne percevrait pas ce qu’il voit de lui-même comme « trois fois plus gros » que la façon dont nous-même le percevons.

Bon, un exemple. Prenons un cheval de 400 kg et un humain de 100 (pour faire simple). Le cheval perçoit l’humain 3 fois plus gros qu’en réalité (100 X 3 = 300 kg). OK, ça fait un gros humain ! (toujours plus petit que le cheval, d’ailleurs) Mais pourquoi ce cheval ne se percevrait-il pas lui-même comme plus gros qu’en réalité (400 X 3 = 1200) ? Le rapport d’1 à 4 demeure le même. Non ? Ce n’est pas un anorexique qui a une image mentale de lui-même déformée, c’est un être vivant qui dispose d’un système visuel différent du nôtre… y compris pour se créer une image mentale de lui-même ??? Non ?

Imaginez un humain qui aurait toujours porté des lunettes-loupes depuis sa naissance : il aurait toujours perçu le monde « plus gros que nature »… y compris lui-même. Pas seulement son image dans le miroir, mais aussi les fragments de son corps perceptibles directement. Pourquoi un cheval ne verrait-il pas son propre corps aussi grossi que le reste ?

Bref, ça fait des années que j’entends dire que le cheval nous voit plus gros que nous ne sommes et que je ne vois pas pourquoi ça devrait affecter son rapport au monde !

Ensuite, un rapport de dominance n’est pas un rapport de taille/masse. Les éléphants voient-il leur cornac dix, vingt fois plus gros qu'il n'est ?

Un rapport de crainte non plus : beaucoup d’humains craignent des animaux plus petits qu’eux-mêmes (par exemple : scorpions, araignées, serpents) parce qu’ils peuvent leur faire du mal. Chez certains, ces petites bêtes déclenchent des phobies irraisonnées, comme les restes d’un comportement instinctif de survie en milieu naturel (un truc qui devait permettre à nos ancêtres de ne pas marcher par mégarde sur les-dites bébêtes).

Ton raisonnement est pour moi très juste mais je fais que retranscrire ce que me dise les vétos, les gens qui travaille avec etc...
Après nulle ne sait comment il nous perçoive vraiment.

Ce qui est sur c'est qu'il se méfie de nous.

Le système visuel du cheval est une mécanique de pointe quoique en dise certains....C'est sur l'acuité de ce sens en particulier (avec l'odorat) que repose son mode de communication.

Ne vous inquiétez pas, la sélection naturelle a bien fait son travail et si le cheval existe encore aujourd'hui c'est bien parce que tous ses sens sont extrêments bien développés.

N'oubliez pas que le cheval dispose d'une vue binoculaire et monoculaire.....et qu'à distance il nous voit exactement comme nous sommes. Le seul point faible est l'abscence de profondeur. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'ils font des refus ou à l'inverse sautent trop haut ou bien encore ne veulent pas marcher dans l'eau.....

Si les chevaux ont peur ce n'est pas à cause d'un effet de grossissement. Trop facile et complètement stupide comme argument à mon sens (ne le prends surtout pas mal chacha).

Lorsque le cheval s'effraie de nous c'est parce que nous avons une attitute (posture, déplacement, regard, gestuelle des épaules et des mains) trop prédatrice. Nous avançons vers lui de manière directe, de la même façon que le ferait un lion....

Nous opérons sur un mode de pensée directe alors que le cheval lui est sur un mode de pensée latérale.....tout le problème vient de là!

Je le prend pas mal ifournet au contraire j'apprends.
Moi on ma toujours expliqué que le cheval nous voyais plus grand mais jamais entendue parlé de profondeur.

Merci pour ces renseignements

Il ne voit pas seulement plus grand : il voit DIFFEREMENT.
Il peut voir devant (avec un angle mort près de son nez, compensé par des poils tactiles), sur les côtés et derrière. Pour une proie, c’est utile : il « voit » les prédateurs tout autour de lui (sauf sous son nez, mais le cheval est rarement attaqué par les taupes, donc ça n’est pas un problème). Donc, son champ visuel est bien plus important que le nôtre, mais sa vue est moins précise. Surtout, sa façon de « voir » n’est pas la même selon l’angle –pour nous non plus, d’ailleurs.
Derrière, il perçoit essentiellement le mouvement, sans vraiment distinguer ce qui est en mouvement. Les chevaux qui ont cherché à analyser ce qui bougeait derrière eux se sont fait manger avant de pouvoir se reproduire. Alors que ceux qui sont partis à fond de train dès que ça a bougé derrière eux ont sauvé leur peau et leur droit à la descendance. C’est Darwin qui l’a dit. C’est pourquoi il faut être attentif à ce qui se passe derrière soi en extérieur : notre monture peut démarrer en trombe parce qu’une feuille est tombée un peu brutalement… et se jeter sous les roues d’un camion. Les ancêtres de nos montures n’avaient pas prévu les camions. Comme quoi Darwin ne peut pas tout.
Sur les côtés, ils voient d’un seul côté à la fois et ne perçoivent pas bien les distances. Ça n’est pas très grave : ils ne se déplacent que très rarement en cession à la jambe ou en appuyer quand arrive la meute de loups qui tente de mettre du cheval à son menu.
Devant, ils ont une vision binoculaire avec une certaine notion de distances. C’est pratique, ça permet de franchir un oxer sur un terrain de concours et un tronc d’arbre dans la nature quand la meute de loups se rapproche. Mais les yeux des chevaux n’accommodent pas comme les nôtres : ils sont incapables de prendre un crayon et de loucher en l’approchant de leur nez, contrairement à nous. Ça n’a pas d’importance : leurs sabots ne sont pas adaptés à tenir un crayon et ils ne font pas de dessin. Pour voir de loin, ils lèvent la tête ; pour voir de près, ils la baissent (ça tombe bien : les brins d’herbe sont en bas quand ils sont proches). La partie du fond de l’œil concernée par la vision lointaine/la vision proche se trouve placée à différents endroits qui tombent pile avec l’endroit où parviennent les informations selon que le cheval a la tête en l’air ou en bas.
En gros.
Et je n’ai pas le temps d’évoquer les couleurs…

Effectivement il semblerait que les muscles cillaires des chevaux ne soient pas dévelloppés, ce qui pourrait engendrer des difficultés pour la mise au point (pour que l'image tombe précisément surla rétine). Les chevaux compensent en déplaçant leur tête.

Pour les couleurs il semblerait qu'ils les distinguent presque aussi bien que nous.

Ne sous estimez pas l'oeil du cheval. Pour un mammifère il est énorme, plus gros que celui de la baleine ou de l'éléphant....c'est une caractéristique des animaux nocturnes.....

Il y a des légendes qui ont la vie dure !
Un cheval ne voit pas plus grand sinon il ne sauterait jamais un seul obstacle !

ophe71 a écrit:

alors moi je vais vous faire part de mon souci avec mon poulain.

pour retracé notre parcours, j'ai acheté mon poulain en novembre dernier, les premiers jours ont été dur il n'était pas accepté par mes autre chevaux, du coup séparation des terrains et rentré au box chaque soir tout l'hiver. après quelque semaine mes chevaux l'ont accepté et j'ai pu regroupé tout le monde.

mais le souci que j'ai et qui perdure c'est que je suis la seul a pouvoir le toucher, "vous allez dire oh ta de la chance toi au moins tu peux le toucher et faire ce que tu veux" oui mais y'a un mais, le souci c'est que ni mon fiancé, ni ma famille, ni mon véto, et encore moins mon maréchal ne peuvent rien faire avec lui, s'ils le prennent a la longe c'est l'explosion du poulain donc c'est l'enfer et j'arrive pas a comprendre pourquoi une telle réaction.

il a besoin d'un parage qui urg mais même mon maréchal qui est pourtant bien costaux me dit qu'il est insociable et qu'il va explosé lorsqu'il va s'approcher et mettre le premier coup de râpe donc que faire, comment dois-je faire pour que mon poulain arrête de stresser.

Alors Ophe
tu en est ou avec ton poulinou?

alors sur conseil d'amies j'ai fais comprendre a mon homme qu'il fallait qu'il aille voir hiall et qu'il lui donne a mangé avant moi, du coup hiall a enfin comprit que mon homme n'était pas un danger mais belle et bien quelqu'un qui peut aussi lui faire plaisir (la gourmandise) du coup c'est lui qui s'y colle et moi je lui donne juste un petit bout de pain a la fin pour le manipuler après.
depuis 3j ça se passe bien il a l'air de bien comprendre et il réagit très très bien, je suis agréablement surprise et fière de mon poulain. mon homme ne peut toujours pas lui toucher le corps mais il peut lui toucher le front (c'est son point favori) ce qui est très bien, donc pour l'instant moi j'en fais ce que je veux, mon homme essai de gagné sa confiance. je persévère et je pense qu'on devrait y arriver, le parage attendra encore un peu, je veux pas que hiall réagisse mal face a la venu du maréchal donc même si ces pied pousse ça attendra. parce que la d'après mon véto le seul moyen de le paré c'est de le tranquillisé et ça je refuse parce que c'est pas une solution pour l'avenir

C'est cool
Je suis contente pour toi
Bonne continuation

merci, je te tiendrai au courant de la suite