Probleme Invité
| Sujet: Urgent Mer 22 Avr 2009 - 10:05 | |
| Bonjour, J'ai un gros probleme avec mon jeune cheval hongre de 3 ans qui ,'est pas encore débourré. Je ne peux pas le faire travailler en liberté dès que je le pousse avec la chambrière ou une longe il ne la crain pas, se pointe et me viens dessus. Comment le faire avancé en liberté. |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Urgent Mer 22 Avr 2009 - 14:15 | |
| Le mien a 15 ans et déteste tout ce qui est cravache et chambrière. Il faut s'aider de son language gestuel c'est très efficace. Travaillez dans un petit espace (rond de longe c'est parfait) et aidez-vous aussi de votre voix. Vous regardez le cheval dans les yeux il va plus vite, vous le regardez vers son épaule interne il ralentit (méthode Monty Roberts). Pour les allures il suffit de trouver le bon code pour ordonner le trot, le galop et le pas, j'ai même réussi à demander au mien l'épaule en dedans. Si vous voulez des tuyaux, n'hésitez pas ! |
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HARMATTAN Membre d'Honneur
Nombre de messages : 2212 Age : 57 Localisation : Salleboeuf Date d'inscription : 15/03/2006
| Sujet: Re: Urgent Mer 22 Avr 2009 - 15:05 | |
| Pourquoi le faire travailler en liberté? Moins de contrainte? S'il doit être monté un jour, le sanglage, l'embouchure, le poids du cavalier sont autant de contraintes pour le cheval. Plus le cheval accepte la contrainte jeune et plus on a de lattitudes par la suite pour le "travail" en liberté.
Pour ma part, je considère que la liberté n'a vraiment de sens que pour renforcer la complicité. Je suis sceptique sur le terme "travail" en liberté. ça requière de surcroit pas mal de compétences. | |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Urgent Jeu 23 Avr 2009 - 7:04 | |
| Oui vous avez raison mais dans un premier temps, le travail en liberté permet de tisser des liens, de plus le cavalier demande mine de rien beaucoup de choses à pied, ensuite la personne peut faire des longues rênes et après monter. C'est ce que j'ai fait avec le mien et je vous garantis que c'est gravé à vie pour lui. Je l'ai acheté débourré mais il ne savait vraiment pas faire grand chose. |
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amarie99 Membre d'Honneur
Nombre de messages : 2822 Date d'inscription : 25/06/2007
| Sujet: Re: Urgent Jeu 23 Avr 2009 - 9:16 | |
| - geckebab a écrit:
- Oui vous avez raison mais dans un premier temps, le travail en liberté permet de tisser des liens, de plus le cavalier demande mine de rien beaucoup de choses à pied, ensuite la personne peut faire des longues rênes et après monter. C'est ce que j'ai fait avec le mien et je vous garantis que c'est gravé à vie pour lui. Je l'ai acheté débourré mais il ne savait vraiment pas faire grand chose.
Oui mais il était monté et éduqué donc ça n'a rien à voir avec le cheval qui attaque ! Je suis complètement ok avec Régis ! tu fais les choses à l'envers à mon avis, le cheval doit apprendre l'obéïssance et les contraintes, rien ne t'empêche de tisser des liens, que cela se fasse dans la douceur mais tu dois toujours être le dominant ; si tu le laisses faire ce genre de choses, tu te prépares des lendemains difficiles... donc pour moi, rond de longe avec filet et mors et selle sur le dos avec étrivières tombantes ; caveçon ou longe sur le licol évidemment ! et là ut lui aprrends à réagir à la voix tout doucement mais très fermement !!! amarie | |
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albane Membre d'Honneur
Nombre de messages : 1800 Age : 41 Localisation : ardeche Date d'inscription : 22/06/2007
| Sujet: Re: Urgent Jeu 23 Avr 2009 - 17:50 | |
| oui en etant ferme mais pas trop tu dois lui apprendre a te respecter et surtout le comprendre, les liens se tissent au fur et a mesure en agissant fermement, sans lui imposer des exercices sans arrets ni trop durs, il faut que vous appreniez a vous faire confiance le mien n attaquait pas mais m'ignorait et me fuyait et le respect c etait quand il voulait a certains moments mais maintenant tout va bien | |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Urgent Jeu 23 Avr 2009 - 17:51 | |
| Chacun ses méthodes en effet, le mien il fut un moment se sentait comme "agressé" donc j'ai changé de méthode et tout va pour le mieux. Ca dépend des chevaux il y en a des plus sensibles que d'autres. |
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